S'ouvrait alors un horizon de
possibilités. Le visage aimé était un pays lointain et chacun de
nos voyages esquissait un avenir différent. Ce qui nous entourait
n'était pas un décor mais le concours de chaque chose à notre
joie. Le ciel s'offrait comme une coupe et les nuages qui le
parcouraient étaient autant d'îles où s'arrêter. Le temps était
un après-midi d'été où chaque pendule veillait sur notre sieste.
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