-
Je n’ai plus besoin, de ça, m’a-t-il dit en allumant une
cigarette.
-
Ça ?, j’ai demandé en remarquant que ses mains ne
tremblaient plus.
-
L’opium de l’élan, a-t-il fait en jetant un drôle de regard par
la fenêtre. Tout le bazar de l’adrénaline : embrasser les
fusils, chasser l’Electre contrariée chez les filles, boire après
la soif, chercher l’ombre, quoi…
Il
avait l’air sérieux et j’ai pensé que j’avais perdu un ami.