A défaut de révolution,
nous
avons fait tourner les astres
sous
le marteau solaire
je
revois ces étoiles en manège
effleurant
le miroir
et,
plus avant,
nos
souffles appuyés
sur
la tranquillité des toits
depuis,
ton
écart me hante
ton
écart
cette
belle encoche
dans
les cataractes du temps.
2 commentaires:
Merci pour ce beau poème.
Le titre et la photo, bien sûr, ne gâchent rien !
Merci, chère Florence.
Je pensais bien que l'évocation de ce lieu qui m'est cher, pour ces raisons et pour bien d'autres, vous plairait.
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