Ô nuit ! ô rafraîchissantes ténèbres ! vous êtes pour moi le signal d'une fête intérieure, vous êtes la délivrance d'une angoisse ! Dans la solitude des plaines, dans les labyrinthes pierreux d'une capitale, scintillement des étoiles, explosions des lanternes, vous êtes le feu d'artifice de la déesse Liberté !
Charles
Baudelaire,
Le crépuscule du soir, Petits poèmes en prose.
1 commentaire:
Bonjour Promeneur, c'est sympathique chez vous ; belle balade ici et là. cdt,
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