Pour
nous, êtres du commun, seuls l’approche de la mort, le combat
contre l’ordre des choses, l’amour, offrent la possibilité de
crever le miroir. Si on accepte leurs règles, qui d’ailleurs se
résument à peu de choses : laisser l’incendie de notre
confort progresser jusqu’à l’écorce, il nous est possible
d’accéder au plus furieux accomplissement de l’être.