"En ces temps sinistres de politicaillerie nauséabonde, faites aux
salopards confits en sacristie qui croient puiser impunément dans les
caisses de l’État pour leur usage personnel le coup du père François :
lisez jusqu’à plus soif Rabelais, qui a pour nous soulevé bien des
lièvres, notamment dans son récit de la Guerre Picrocholine aux
chapitres XXV à LI de Gargantua, et par avance mis en lumière bien des offenses sans les pardonner aucunement. C’était il y a longtemps. C’est aujourd’hui. Vade retro, Satanas !", conclut bonnement Maurice Mourrier dans son article Rabelais, notre père que l'on pourra lire, in extenso, dans l'excellent site En attendant Nadeau.
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