S'ouvrait alors un horizon de possibilités. Le visage aimé était un pays lointain et chacun de nos voyages esquissait un avenir. Ce qui nous entourait n'était pas un décor mais le concours de chaque chose à notre joie. Le ciel s'offrait comme une coupe et les nuages qui le parcouraient composaient autant d'îles où s'arrêter. Le temps était un après-midi d'été où chaque pendule veillait sur notre sieste.
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Puis, le Grand Forestier arriva.
Et les conditions même du possible disparurent.
Ce qui n'avait jamais été auparavant, quand même le possible était pourtant menacé. Beaucoup, alors, aux prémisses de la fin, refusèrent de l'admettre, comme d'identifier le péril, en le distinguant de la simple peste.
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